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| | | Histoire d'une plume, celle qui rêvait. |  |
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Kioko
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| | Sujet: Histoire d'une plume, celle qui rêvait. Sam 16 Juin 2007 - 0:14 | |
| - Citation :
RP:La guerre contre les Phoenyx d'Endorion. Quelle belle guerre. Cependant, pendant que le soleil se couchait sur l'horizon, les fenêtres et les volets s'ouvrèrent. La lumière disparait, les corps se réveillent. Le coq nocturne éveilla les esprits de ses compatriotes de son cri mélodieux : "PLOP les gens !" Bien sur la basse-cour lui répondit en cœur "Plop -plop -plopinou" 'fin bref, la vie à la basse-cour, surtout en guerre, c'est monotone entre les "Omagaaaadddd" gogotien, ou les "bon, je vais dodo, je re dans une heure" gnoufiens, voir même les "Salope :p" jonusiens sans compter les "vai voir ce qu'il y a dans le frigo de mes parents  ils sont parti" sonitisiens, les "mouarf :p" campbelliens, les "+++" de tout le monde, Sauf qu'une nuit... "On se fait un cs ?-Why not ?-Attends, j'ai pas envoyé mes flottes !-J'ai plus de place sur mon dd...-Vire les pornos !-Y'a pas de pornos.-Vire linux !-Je travaille comment après ?-Tu travailles toi ?-Bon, go ts pour ceux qui play !-J'ai pas ts !- Tiens Ratus ! www.01net.com/outils/telecharger/windows/Internet/communication/fiches/tele29062.html-Vire ET !-Nan, quand j'install un jeu, je le désinstall pas !-A y est, 10 slots remplis !-Alors il est où ton cs de la dernière fois ?-J'ai format -Tu peux pas formatt et tout réinstall pour dans 10 minutes ? /D-Allé, go tsEt moi, go tout court faire ma lessive! +++" Les bruits macabres des micros envahirent les haut-parleurs. Les voix légèrement grésillantes s'exprimèrent : La team "ogame" créée pour l'occasion allait partir dans les plus profonds méandres du réseaux planétaire pour se taper sur la tronche à coup de "lance trucs", et autre "boudins", "pioupiou", sans oublier la fameuse machine gun, surnommée "LA moisse bat' !". La porte se levait lentement au début, laissant apparaitre que leurs jambes. Ils étaient classes... AVANT que la porte ne s'ouvre...  Voici donc nos futurs héros qui allaient partir en war. De gauche à droite : Campbell, Jonus, Ratus, Goliath, et Alpok "Re !-Re !-Re -Lu !-Alpok, les autres -WHOUUUUUUUU-Kecéksa ! -Campbell, arrête de passer l'aspi, et viens jouer ! -WOuuuuu j'ai pas encore whouuuuuu branché ma woushhhh webcam !-Quoi ? Il a pas branché sa wc et on l'entend sur TS O_d-omagad-Il doit être sur un portable.-Campbell, rapproche toi de l'écran !-Ouais, en fait, joues avec la joue collée contre l'écran ! On t'entendra mieux !-Woushhhh j'arrive pas à lancer cs !-T'as cliqué sur l'icone ? MOUHAHAHAHAHAHA-Tu l'as pas déjà ouvert ?-woushhhhhhhh HA si ! Woushhhhhh-Ok, donc en fait maintenant cs, c'est entre le bouton "IRC" et "Firefox" ^^-Ma pétasse s'est barrée  -Alpok, tu nous trouves une war ?-Quel level ?-Supra noob !-Supra quoi !!!-Entre un qui a joué une fois dans sa vie, qui passe l'aspirateur, et un rat !-Et moi qui n'ai jamais fait de war...-Donc supra noob... On est pas sorti.Un temps passa, les compères de la basse-cour continuèrent à déblatérer leurs conneries quand soudain : -84.4.213.197:27960 pass lol-k, pour moi c'est bon !-p'tain, le jeu dl des sons de merdes ! PUTAIN DE 1,6 !-Heu... Comment on fait pour rentrer dans un serveur à pass où il n'y a pas la boite de dialogue demandant le pass qui s'ouvre ?-whousssssssssshhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh j'ai un message d'erreur !............-P'tain, on est mal barré !-@ Jonus : tu mets password lol connect et l'ip !-Je mets quoi où ?...- TU METS : password lol connect 84.4.213.197:27960-Oki doki  -C'est bon pour moi.-Me too-Ready.-Idem............-Campbell ?-whousshshshhh il me marque toujours un message d'erreur !............-Et merde-C'est clair...-On a pas fini...-Je go pisser !-y'a marqué : your steam account was banished for cheating.-Ro le con... Banni pour cheat !-MDR-Bon ba tant pis, je vais me pioter.+++++++Player left-Tiens, y'a de l'orage chez mo...Player left-WTF ?-Vous connaissez le comique de répétition ?-Heu... Non...-Moi non plus !-Ba c'est ça !-Gné ô_O-Ba c'est ça !-Ba c'est ça !...-Ba c'est ça !-Ba c'est ça !-Ba c'est ça !-Ba c'est ça !-Ba c'est ça !-Ba c'est ça !-Heu, c'est bon là ?-Ba c'est ça !-Ba c'est ça !-Ba c'est ça !-TG-P'tain, il est pire qu'une mouette !-Ba c'est ça !-Ba c'est ça !-Ba c'est ça !-Ba c'est ça !-Ba c'est ça !-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaPlayer left-Mais, mais mais ! C'est parceque je suis un rat que vous partez tous ? -Comment ça tu es un rat ?-Ba, heu... oui.Player leftJe me sens un peu comme un con...Dans le noir intersidéral, Ratus se sentait seul, désespérément seul. Le serveur cs était vide... Quand tout à coup, un adversaire se mesura à lui : Jacqhal, des [PaxRoman]
La war commença, et lui mit une branlée intergalactique :
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| | | | Kioko
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| | Sujet: Re: Histoire d'une plume, celle qui rêvait. Sam 16 Juin 2007 - 0:20 | |
| - Citation :
Campou le terrible. Voilà comment l'on surnommait cet homme. Il n'était pas si terrible que ça voir même plutôt drole quand il tente de faire peur !
Il dormait mal depuis qu'il su que son compte steam est banni. Il avait peur. Il était hanté par cet échec.
Il ne connaissait pas le résultat de la war ([xLs] ratus VS Jacqhal [PaxRoman]), mais il savait qu'il devait relever son honneur perdu !
Tant pis pour la nuit de sommeil, tant pis pour la guerre contre les poulets grillés, il se leva, et trouva une war 1 vs 1.
Un certain « Grom » voulut l'affronter !
Le match serait dur, Campou le savait, et pourtant, il prit son aspirateur, et créa la partie pour ne pas être emmerder par son bannissement !
Quand soudain, un arbitre se présenta à l'écran :
Il se plaça au centre de la map, là où les deux combattants étaient, mais ne se voyaient pas. Le seul projecteur éclairait l'arbitre. Il prit la parole avec un fort accent du sud :-Bon alorheu je n'accepterais pas heu les fautes, genreheu...Pendant que l'arbitre parlait, un petit enfant apparu d'une zone d'ombre, s'avença au pied de l'arbitre, et lui dit :  -Redrum !Puis il décapita l'arbitre, et s'en alla.
La lumière allait crescendo, puis l'on vit les deux combattants :GROM, invaincu depuis trop longtemps : VS
CAMPOU LE TERRIBLE, qui nous vient d'Ecosse, tout comme son aspirateur. Là, Campou the Terrible (comme le nommaient ses ancètres qui l'ont renié dernièrement) serra contre lui son aspirateur qui ne le quittait plus.
C'est d'ailleurs pour cela qu'il n'a toujours pas de femme... Il a un aspirateur pour lui tenir compagnie la nuit..
Le gong retentissait,
Trois !
Deux !
Un !
Fight !
Campou partit au quart de tour, sans prendre d'arme, alors que Grom s'acheta deux doubles lances-flamme. Campou courrait toujours, il voulait arriver aux otages avant son ennemi !
Arrivé dans une sombre pièce, il tomba sur une arme :  -OUAISSSSSSSSSSSSSSS, j'ai une armeheuuuuuuuuu !Campou, s'avença d'un pas brusque dans la pièce suivante, d'après ses relevées topographiques, les otages doivent être dans cette salle !
Mais quel ne fut pas son étonnement quand il tomba sur :  Le dialogue entre les deux protagonistes commença : -Qu'est tu fous là le gnome ?-Ca se voit pas ? Je tricote du con !-Ha ouais ! Franchement ça se voit pas !-Toi je t'aime, tu es tellement idiot :p !-Je t'écoute !-Hé mais c'est mon arme !Le jeune graçon remballa son engin, et tapa à l'endroit le plus intime du Campou, qui, ayant mal, lacha l'arme.
L'enfant s'enfui, mais heureusement pour Campou, il lui restait son fidèle pistolet !
Il se souvint aussi que les otages n'étaient pas dans les toilettes !
Alors il se remit à courir vers ces derniers.
Tombant quelques fois, se perdant maintes fois, nous ferons abstractions de ces événements pour ne pas pourrrir l'image de ce pgm.
Arrivé dans la salle des otages, il surprit Roger et Robert en pleine... Hem action... Très intelligent, Campou décida de se déguiser pour que personne ne le surprenne.
Un bruit survenu derrière Campou, il se retourna rapidement, ce n'était qu'un mirroir... -Avec ce déguissement, personne ne me reconnaitra !La porte s'ouvrit, Grom apparut, et enflamma la pièce, les otages brulaient, les bureaux fondèrent, la moquette crépitait, Grom se sentit fort, puissant, et invincible, mais il ne connaissait pas le talent naturel du Campou pour retourner les situations catastrophiques en situations apocalyptiques.
Alors qu'il se débattait avec le cactus dans lequel il tentait désespérément de se cacher, il tomba, sur le sol, roula jusqu'aux pieds de Grom, et le fit tomber. Ce dernier, déstabilisé, tomba raid mort d'une crise cardiaque.
Voici la scène en chiffre :
Campou était heureux, il avait gagné sa war !
Il pouvait désormais s'afficher sans scrupules avec son nouveau nom : Lord Campbell : Alors que Goliath, pauvre comme pas deux, faisait de la musique pour tenter de gagner de quoi survivre : Et 'Mam, qui rentrait de vacances du Système de Marvel : Ratus quant à lui, vaquait à ses occupations.... Lord Campbell se dirigea vers le QG des xLs, fier de son action !
Dernière édition par le Sam 25 Aoû 2007 - 15:12, édité 5 fois | |
| | | | Kioko
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| | Sujet: Re: Histoire d'une plume, celle qui rêvait. Sam 16 Juin 2007 - 0:22 | |
| - Citation :
Le soleil se levait au loin, et pourtant, tout prétait à croire que c'était la fin. Je m'avançai au précipice. Il est profond, noir. On n'en voit pas le fond. Et pourtant. Et pourtant je continue d'écrire sereinement, d'écrire ce qui me choque, ce qui m'envoute, ce qui m'agasse, ce qui me fait pleurer, crier, rire...
Le soleil se levait au loin, et pourtant, tout prétait à croire que la fin était bien là. Pendu par mes pensées, mes idéaux, mes valeurs... Je suis à deux doigts de lacher. Et pourtant, je continue de tenir.
Le soleil se levait au loin, et pourtant, tout prétait à croire que la fin était bien là. Je tombai dans ce précipice. Il est profond, noir. On n'en voit pas le fond. Et pourtant. Et pourtant, je continue d'écrire sereinement, d'écrire ce qui me choque, ce qui m'envoute, ce qui m'agasse, ce qui me fait pleurer, crier, rire.
Le soleil se levait au loin, et pourtant, tout prétait à croire que la fin était bien là. Pendu par mes pensées, mes idéaux, mes valeurs... J'ai déjà laché, mais je me retiens à une branche dans ce précipice, l'espoir. Elle est à deux doigts de lacher, Et pourtant, elle continue de tenir.
Le soleil se levait au loin, et pourtant, tout prétait à croire que la fin était bien là. Je tombe dans ce précipice. Il est profond, noir. On n'en voit pas le fond. Et pourtant. Et pourtant, je continue d'écrire sereinement, d'écrire ce qui me choque, ce qui m'envoute, ce qui m'agasse, ce qui me fait pleurer, crier, rire.
Le soleil ne se levait plus au loin, et pourtant, tout prétait à croire que la fin n'était pas là. Il n'y a plus de branche, il n'y a plus de chute. Je suis au fond du trou. Plus moyen de remonter. Je vous croise, vous, ici, au fond, au fin fond. Je vis.
Le soleil n'est plus, et cela depuis bien longtemps. Nous sommes dans son monde, mais lui n'y est pas. Triste. Pourquoi n'est t-il pas là ? Peut être car lui aussi l'a compris. La vie n'est rien, ne sert à rien, et ne mérite pas d'être vécu.
Le soleil ne sera jamais, car il n'est pas dans ce monde. Il est dans ce monde d'ignorants et de faibles. Ceux qui ne savent pas « croquer la vie à pleine dent ». Ceux qui restreignent ce que l'on appelle l'existence... Pour un monde meilleur... Celui où loge le soleil.
Je m'avançai, et te vis. Tu n'avais rien à faire ici, tu n'avais pas à avoir ce que tu possèdais. Alors je te l'enlevai :
Le soleil n'est pas, mais moi, depuis peu, je suis et je resterai.
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| | | | Kioko
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| | Sujet: Re: Histoire d'une plume, celle qui rêvait. Sam 16 Juin 2007 - 0:27 | |
| - Citation :
- Bonjour ! Certains et certaines d'entre vous se sont souvent demandés, un beau soir d'été :" comment aller en boite sans risquer de ne pas en revenir ?".
Cette question se révèle lourde de sens car la majorité des individus posant le premier pied dans une boite de nuit en revient souvent les deux pieds devant et quelque chose de moins catholique au derrière.
Alors ! Nous avons ici répertorié quelques techniques de survie, délicatement empruntées à messieurs Dundee Crocodile et McGyver.
- L'ARRIVEE : SURTOUT NE VOUS FIEZ PAS AUX APPARENCES ! L'innocent bâtiment qui ressemble à une boite à sardines n'en est pas un ! Sa taille -risiblement petite au premier abord- s'accroît aussi surement que le pénis d'un monsieur excité une fois que nous sommes à l'intérieur (de la boite, pas du monsieur. Quoique...).
- Hygiène personnelle : évitez les pellicules ou les vêtements trop noirs. Ca se voit.
- Conseil aux mélomanes : l'ambiance d'une boite est parfaite 20 minutes, amusante 30, et répétitive tout le reste. Les basses poussées aux extrêmes finissent par toutes se ressembler (tchac...boumboumboumtchac ! ...tchac...boumboumboumtchac !...Tchac...), elles vont même jusqu'à occulter les paroles elles-mêmes.
- Avis à ceux qui n'aiment pas les gens (pareil pour les agoraphobes) : votre mépris de l'humanité augmentera après soirée en boite.
- Techniques de danse : pas la peine d'en connaitre : contentez-vous de remuer un peu tous les membres et ca passera. Attention à ne pas trop en faire, comme certains mâles, qui ne sont pas loin de l'autosatisfaction lorsque passe leur tube favori. Beaucoup s'y croient mais tous ressemblent à des pingouins linusiens se déhanchant sur un disque de "Viens Poupoule".
Burlesque.
- Beaucoup d'hommes se sentiront vite lassés au bout d'une demie-heure de boite. En effet : vous passerez la première demie-heure à sauter partout comme un fou sur la piste de danse, et tout le reste à vous contenter des discrètes imitations faciales de Jackson tellement les courbatures chatouilleront votre corps.
CONSEIL POUR LES HOMMES : en cas de besoin urgent n'allez jamais, Ô GRAND JAMAIS ! dans les toilettes des hommes. Les plus téméraires eux-mêmes y ont laissé plus que leur vie. Préférez à celles-là les toilettes des femmes, plus commodes, plus sympathiques.
Vous pourrez de plus, en flattant gentiment vos tympans, écouter les passionnantes histoires de cul et de maquillage de toutes les filles présentes.
Ce procédé permet à la fois de se dire qu'on a maintenant la vessie et la boitacaca vides, mais aussi que ...en fait... c'est pas si mal d'être un homme. On ne sait pas faire caca mais on ne parle pas de maquillage.
Etre un homme, en boite ? Facile ?
Oui, plus facile que d'être une fille, bien sur.
Mais constater le degré de rut et de connerie profondément suée que peut atteindre un mâle en ce genre d'antichambre vous déprimera profondément.
- TECHNIQUES DE COMBAT DE BOITE : cette technique nous vient directement du Maître Ichi Partu, élaborées en plein temple de Shaolin à l'époque touristique. Nous nous permettons de vous retransmettre son message :
Lorsque l'Aimée du Guerrier partira danser, le Guerrier devra méditer quelques minutes en position du cadavre afin d'accumuler en lui le Chi nécessaire à la garde de son centre de gravité.
Le Guerrier ensuite se lèvera et partira rejoindre son Aimée.
Il constatera que trois Bandits convoitent d'un peu trop près le postérieur de son Aimée. Le Guerrier, alors, rusera.
Il partira tout d'abord vers le premier, tout en dansant afin de ne perturber ni l'Energie Cosmique ni les soupçons des Brigands.
Il adressera un mot à son Aimée, et l'un des Brigands lui demandera très civilement : "cette fille est à toi ?". Le Guerrier devra, durant un court instant, penser exactement comme pense ce Brigand, et parlera de son Aimée comme d'un lot jeté aux coqs. "Oui." répondra le Guerrier, avant de se faire un potentiel allié de ce Brigand : "Ca fait longtemps que t'es arrivé ?". Il discutera avec lui quelques secondes, puis retournera près de son Aimée. Ainsi, le premier Brigand non seulement ne convoitera plus l'Aimée du Guerrier, mais en plus deviendra fou amoureux de ce dernier.
Le Guerrier doit apprendre à sacrifier son Anus pour sauver son Aimée.
Il se dirigera ensuite vers le second Brigand, à l'apparence plus agressive, cette fois. D'un ton innocent, se voulant prévenant, il dira : "Ca ne me regarde pas mais je serais toi je me méfierais : c'est la copine du videur, là-bas."
Le second Brigand remerciera le Guerrier de l'avoir mis en garde et partira subitement emprunter les toilettes pour une heure ou deux.
Après la ruse et le mensonge viendra la lutte. Le Guerrier devra maintenant appliquer le style de combat de l'Ecole de la Ligne Magineot.
Sa jambe droite doit se plaquer très exactement entre son Aimée et le dernier Brigand. Elle deviendra le centre de gravité du Guerrier qui ne la soulèvera que pour se déplacer en fonction des gestes du Brigand.
Son autre pied devra effectuer quelques rotations sur lui-même, afin de conquérir le peu de place qu'empruntait le Dernier Brigand.
Ses mains devront bouger avec amplitude, afin de forcer le Brigand à s'écarter sous peine de recevoir un coup involontaire.
Enfin, le Guerrier se retrouvera tout seul avec son Aimée qui, haineuse de n'avoir pu mener à bien ses plans de conquete personnels, partira ruminer loin du champ de bataille.
Le Guerrier, alors, connaitra la satisfaction d'avoir envoyé chier trois Néanderthaliens et son Aimée.
Le Guerrier doit apprendre à être impitoyable.
C'est à ce moment là que le videur intervient.
Il dit se nommer Dams 76.
Le jeu favori des videurs : voir qui a la plus grosse... | |
| | | | Kioko
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| | Sujet: Re: Histoire d'une plume, celle qui rêvait. Sam 16 Juin 2007 - 0:31 | |
| - Citation :
 Le garçon s'approcha du vieil homme. Ils étaient tous les deux seuls sur la digue. Cette vieille digue. Celle qui traçat le chemin de celui que l'on pourrait qualifier de "maître", Toi. La digue est haute. Elle fait dans les 5 mètres. Je les observe de la ruelle. Le vent venant de la mer portait leurs paroles à moi. Je les écoutais. Chaude nuit de printemps, mélé au vent glacial. Le vieil homme était plongé dans ses pensées quand le jeune garçon l'interrompit : "pourquoi ?-pourquoi quoi mon enfant ?-pourquoi le vent souffle t'il, pourquoi le soleil brille et chauffe, pourquoi les fleurs sont belles, pourquoi les fruits sont bons... Pourquoi ?-Car c'est la Vie."La parole de l'homme avait l'allure d'une vérité générale. Le garçon retournait la question dans tout les sens. Cela ce voyait à ses yeux qui cherchaient. Qui cherchaient partout la Vie. Il se tourna vers l'homme, et le regarda droit dans les yeux, il lui dit :"Est-ce la Vie qui a inventée Dieu ?-Non.-Qui alors ?-L'Homme.-L'homme ?-Non, l'Homme.-Comment avons-nous réussi ?-L'Homme a une capacité que peut d'être ont : celle de pouvoir créer. Il peut tout faire, du moment qu'il le veuille et qu'il croit en ce qu'il veut.-Comme créer une navette pour aller dans l'espace ?-Ceci n'est que matérialiste, et l'Homme peut créer d'autre chose. Il peut créer tout ce dont son immaginaire est capable d'inventer.-Comme ?-Les fantômes.-Ils existent ?-Oui, car les Hommes les ont créés.-Ils y a quoi d'autres que nous avons créé ?-Toutes les divinitées, l'esprit de la forêt.. Et j'en passe !
-J'ai entendu que des hommes vivaient dans l'espace, eux aussi peuvent créer comme nous ?
-Je ne sais pas. Ces hommes qui vivent dans l'espace ne sont pas vraiment comme nous.-A bon ?
-Oui, nous, nous existons car nous avons été créé matériellement. Pas eux.-Je ne comprends pas...-Ecoutes, n'as-tu jamais rêvé de vivre dans l'espace ?-Heu...-As-tu déjà voulu voyager dans l'espace ?-Oui, comme tout le monde.
-Voilà. Beaucoup de gens ont voulu aller dans l'espace, y habiter. L'Homme peut créer si il y pense très fort. Une majorité d'astrophysicien pense justement que des gens vivent dans l'espace, possèdent une technologie très avancées, bref, l'Homme a créé l'homme.-Montres moi ce que tu sais créer !
Le viellard tendit son regard vers l'horizon. Le ciel s'assombrit. Les vagues se fesairent plus fortes sur la digue. Une masse verdâtre sortit de l'eau déchainée.  La bête, furieuse, commençait à foncer sur la digue, voyant le vieu le fixer dans les yeux... Le vieu ne bougeait pas. Il restait stoïque comme l'Ayers Rock face à un moustique.La bête écartait les flots par ses avancées brusques et rapides. Arrivée à quelques brasses de la digue, les nuages s'écartèrent, les eaux se calmèrent, et la bête, débousollée, se disloqua sur elle-même.Toute la ville changeait de visage, tout, même la digue était désormais unie à la route... Le calme reignait, le soleil resplandissait, et chaissait les nuages de ses rayons matinaux. Des morceaux de l'ancienne bête naquient des oiseaux, qui voletaient gaïement.Mais le sol tremblat tout à coup, les murs tombèrent en ruines, de ces même ruines, des flammes embrasèrent le peu d'atmosphère qui restait, face à l'asphixie des noirs nuages qui reprenaient peu à peu leur place céleste. Les oiseaux tombèrent à terre. Leurs entraillent se déchirèrent pour laisser place à des êtres armés. Ils se regardèrent, hébétés. Ils commencèrent à se battre... Puis apparut du ciel, une autre bête. Elle tomba lourdement sur le sol. Des ruines, une jeune et fougueuse demoiselle sorti, elle brandit un baton, et se démultiplia spectralement. Brandi l'Arc de l'Âme, et tira sur la bête ! Puis les flèches de la demoiselle percirent le coeur de cette masse. Elle se déchira, un rayon de lumière en sorti et le cahos disparut pour redonner place à la vieille digue. Le garçon en avait le souffle coupé... Moi aussi."Tu penses que si j'immagine quelque chose très fort, cela pourra ce produire ?-Essayes toujours, qu'à tu as perdre ?-Du temps !-Si le temps tu ne l'utilises pas, alors à quoi cela sert-il de le préserver ?-Rien...-Alors créé mon jeune ami, créé !" Sur ces mots, je vis le vieillar se coucher sur le dos. Les bras derrière la tête, observant les étoiles. Je le savais qu'il pensait à son être qu'il avait créé là-haut. Tout comme moi, il le fait vivre.
Il lui fait vivre tout ce qu'il ne peut, ou ne veut pas vivre ici-bas. Je vis une forte lumière dans mon dos. Je me retournis, c'était Toi qui me demandait de venir. Pour moi la soirée des rêves se finissait,
L'on m'avait retrouvé, et la nuit était déjà bien avancé, et de lourdes tâches nous attendaient, demain.Je contis cette histoire à un ami. Cet inconnu dans cette mer d'inconnus. Alors il me conta une histoire. Celle d'une peuplade qu'il avait déjà immaginé. Ceux-ci vivaient dans l'espace. Il était pour la plupart empereur de neuf planètes et de quelques lunes. Il avait immaginé une civilisation battie sur trois principaux pilliers : le métal, le cristal et le deutérium. Il avait construit dans son immaginiation des planètes remplis de défenses.  Des défenses par millier, qui pouvaient même recouvrir des parties entières de planètes !
Des vaisseaux, des nuées, des nuages !  Il y en avait de partout !
Et des mines, beaucoup de mines.  Parfois il y en avait tellement que de leur lune, les souverains pouvaient voir les trous laissés par les producteurs.
Il créa aussi tout ces empereurs d'empire céleste. Bref, à lui seul, il créa des univers entiers. Il donna vie à des millier de souverais. On pouvait le comparer à mère nature.La journée se passa.Le soir même, je retourna près de la digue. Je vis l'enfant et le vieillard au même point. N'avaient-ils pas bougé ? J'alla à leur rencontre."Allonges toi." me dit le vieux. Je le fis, et il continua :"Je ressens quelque chose de mauvais provenant des étoiles.-Qu'est-ce donc ?-Nos créations ne veulent plus de cet ennui. Ils veulent se faire la guerre...-Mais ils ne peuvent pas... Ce sont nous qui les avons créé !-Nous les avons créé à notre éffigie. Et ce qui nous différencie de la plupart des êtres vivants, c'est que en plus de l'instinct, nous avons le libre-arbitre. Eux aussi l'on. Nous ne pouvons que les contempler.-On ne peut vraiment rien contre cette guerre ?-Non. Elle est imminente ! Leurs vaisseaux sont déjà en route ! "  Le jeune garçon n'avait pas encore parlé. Il se leva. Ecarta ses bras, et plongea. Il avait compris que la guerre était imminente et il ne pouvait l'empêcher.Le jeune sortit la tête de l'eau et nous demanda : "Est-ce que la guerre est normale dans la vie ?-La Vie, tu l'apprendra à tes dépends mon enfant." Le vieux commençait à T'enseigner la vie. Là, Tu était devant moi. Notre première rencontre, Tes premières Sainte-Paroles. Cette guerre T'a donné beaucoup en réflexion, et leur a apporté beaucoup de destruction.Le vieux et moi-même regardions au loin. Le ciel se déchirait déjà. Nous pensions aux êtres que nous avions créé. Ils sont grands maintenant. Ils prennent leur libre arbitre.
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| | Sujet: Re: Histoire d'une plume, celle qui rêvait. Sam 16 Juin 2007 - 0:33 | |
| - Citation :
 Le nuage montait dans les airs. Le souffle était violent. Tandis que nombreuses étaient les Âmes traversant le Styx... La guerre se terminait. Les vaisseaux se faisaient de moins en moins nombreux. Mais la production d'armes ne faisait que s'accroître avec le temps. Alors que nos créations continuaient d'envahir l'espace... J'étais parti vers l'est... A quelques kilomètres. Je Te revoyais. Tu avais le sourrire aux lèvres. Je savais très bien pourquoi. Tu le sentais Toi aussi. La fin ! La fin de cette guerre !- Assieds-toi !Je fis ce que me dit le vieillard.- A quoi servent les guerres ?Tu étais là, je Te regardais, Tu étais déjà beau, ami de la Sagesse, Tu tentais de l'atteindre déjà !- L'Homme est tellement compliqué et désespérant...- L'Humanité devra mettre un terme à la guerre, ou la guerre mettra un terme à l'Humanité.- L'Humanité est déjà condamnée !- Je crois encore en l'Humanité, je ne pense pas qu'elle soit si mauvaise.-Crois-moi... Elle l'est ! La guerre est un mal qui déshonore le genre humain.Je me levai. La vue sur l'ancienne base sous-marine allemande me faisait froid dans le dos.- Hé oui, partout il y a les traces, celles que la guerre a laissées. Tu ne peux le nier. Au terme de chaque guerre la paix, et de chaque paix, la guerre. C'est le cycle de la vie, certains osent le dire.- Je continue pourtant à penser que l'Humanité vaut vraiment le coup d'être sauvée !- Pourquoi vaut-elle autant de sacrifices, de temps et de persévérance... De toute façon, les guerres, ça finit toujours mal.Le silence se faisait pesant sur le port. Le vieu n'avait pas tort. Tu allais riposter, je le sentais. Tu pris une grande inspiration, et Tu T'élanças- Hé si c'était les gens comme Toi, mon cher, qui font que les guerres sont ? Certes, il est plus facile de faire la guerre que la paix. Mais nous sommes humains, nous avons des sentiments, nous savons créer, nous sommes autres ! Et rien que pour cela, l'Homme vaut plus que tous les efforts dont il doit s'obliger pour rester lui !Quelle talent d'orateur Tu as ! Tes débuts... Qui précèdent une longue liste de bravoures oratoires dont Toi seul Tu as l'expérience. Le soleil se couchait sur la Loire. Une demoiselle approchait de notre groupe. Très jolie, elle était de Ton âge.- Je viens Te chercher !- Pourquoi moi ?- La paix est l'histoire des sages, la guerre est l'histoire des hommes.-Mais je ne suis qu'un homme !-Fais-Tu la guerre ?-Bien sûr que non !-Alors Tu es un sage.Le vent soufflait dans les mats des bateaux. Le ciel s'embrasa. Ton départ ne plait pas à tout le monde...- Où vas-Tu aller ?-Là où la Vie en laquelle il croit va la mener !-Va-T'on se revoir ?Tu me regardais dans les yeux. C'était la première fois que je croisais Ton regard.
Tu partis. Tu partis avec cette inconnue... Depuis, je ne T'ai plus revu. Le vieillard est mort. Mort de son incompréhension de ce que Tu nommais Humanité.*****  Je sais que je n'ai rien à faire ici, et pourtant, j'y suis. Je fais la guerre. J'en appelle à Toi, aide-moi ! Tu es un sage, Tu peux le faire-SAUVE-MOI ! La tranchée s'écartait... Elle se remplit de liquide.- Choisis, le monde des cieux, ou le monde des enfers !Choisir... Pourtant le choix est simple, mais avoir le choix, c'est tellement rare...- Et si je ne veux pas choisir ?- Alors tu resteras avec ton choix, jusqu'à la fin !- Quelles sont les différences entre ces deux mondes ?- Aucune ! Si on ne l'arrête pas suffisamment tôt, le mal finit par atteindre tous les hommes et par les engloutir, qu'ils l'aient combattu ou ignoré. Le problème étant qu'il est déjà trop tard. Tu es, et Tu resteras dans cet univers humain aux cieux, aux enfers, où ici. Le mal est et restera.Non, ce ne peut être... Non, pas possible. Désolation... Je ne veux la connaitre.L'homme se saisit de son arme, la braqua sur sa tempe...Il est désormais trop tard...
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| | | | Kioko
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| | Sujet: Re: Histoire d'une plume, celle qui rêvait. Sam 16 Juin 2007 - 0:43 | |
| - Citation :
 Pourquoi ?
Pourquoi Papa, n'es-tu pas heureux ? Sais-tu mon fils, la Vie est si triste.Comment ça « la Vie est si triste » ? Savais-tu, mon fils, que j'ai perdu un amour il y a fort longtemps. Elle m'aimait, je l'aimais, nous nous aimions... ... mais la Vie en a décidée autrement. Je ne peux comprendre ton chagrin, je suis tellement petit, je n'ai pas encore eu le temps de m'accrocher à une femme. Et pourtant ce que tu appelles malheur, ne penses-tu pas que j'ai connu pire ? Moi qui vient du Rwanda... ... ma famille biologique y est passée, tout comme mes amis, mes voisins, et tout ceux que je connaissais. Tu es désormais tout ce qui me reste, et pourtant, je ne m'apitois pas sur mon sort, je sais que le malheur existe, mais le bonheur aussi. Si tu n'accepte pas que la Vie n'est pas que du bonheur, alors il ne te reste plus grand chose...Comment veux-tu que je continue à vivre, celle que j'aime est morte...Mais pas les autres ! Si des personnes meurent, d'autres sont encore en vie, ne vies pas avec les morts, mais avec les vivants, car tu l'es toi aussi !Tu es si jeune, et déjà si sage.Peut être sage, mais toujours jeune. Puis-je aller donc jouer avec les autres enfants ?Vas-y, mais ne t'éloigne pas trop ! L'homme restait là. Planté au milieu de la plage, regardant les étoiles... ... ces étoiles qu'il avait oublié de voir pendant des années. Ces étoiles qui n'étaient que des vaisseaux qui se rapprochaient les uns des autres...... une lumière étincelante, une explosion. Vivre avec les vivants, laisser les morts avec les morts !L'homme tourna le dos à l'explosion, et rejoint les enfants.
Dernière édition par le Jeu 8 Nov 2007 - 23:45, édité 2 fois | |
| | | | Kioko
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| | Sujet: Re: Histoire d'une plume, celle qui rêvait. Dim 8 Juil 2007 - 13:59 | |
|
Dernière édition par le Lun 9 Juil 2007 - 22:59, édité 1 fois | |
| | | | Kioko
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| | Sujet: Re: Histoire d'une plume, celle qui rêvait. Lun 9 Juil 2007 - 22:57 | |
| A Toi... - Citation :
Tu es devant moi.
Je te vois.
Je t'observe.
Tes yeux sont bleus azur.
J'aime,
J'aime m'y perdre,
Je t'aime.** Tes lèvres. Ta bouche.
Contre la mienne...
Cette sensation,
Ce toucher...
J'aime,
Je l'aime à m'y perdre,
Je t'aime.** Tes mains. Tes doigts.
Sur ma peau...
Cette caresse,
Ce délisse,
J'aime,
J'aime à en perdre...
J'aime.Ne cherche pas,
Ne pense pas,
Aime moi ! | |
| | | | squall
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| | Sujet: Re: Histoire d'une plume, celle qui rêvait. Mar 10 Juil 2007 - 19:51 | |
| on derive du RP vers le poeme d'amour mais c'est beau continue et dsl de polluer ce post ^^
:s | |
| | | | Kioko
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| | Sujet: Re: Histoire d'une plume, celle qui rêvait. Ven 24 Aoû 2007 - 18:13 | |
| Merci du compliment Squall. Désolé de la lenteur de la réponse, mais je n'aime pas poster dans cette partie sans... Ecrit >< - Citation :
Il avance vers elle, sa douce, sa très chère.
Elle, de dos, noie son regard dans l'horizon lointain. Il posa une main plus qu'aimante sur son épaule dénudée.-Mon amour. Je ne peux que t'aimer.
Tu es toute ma Vie, sans toi, je ne suis rien.-Ho mon amour, je ne saurais vivre loin de toi.
Mon père m'appelle dans mes terres natales.
Je reviendrai au plus vite...
En espérant que mon âme ne se ronge de par l'éloignement.Sur ces mots, la jeune demoiselle se retourna. Son regard, perçant, ne laissait transparaître la douleur de la séparation.
Elle se leva, doucement, gracieusement.
Les gardes ouvrirent les portes devant elle.-Mon amour...
...
Je ne peux t'oublier.L'orchestre présent jouait.https://www.youtube.com/watch?v=M_YSEbAWA0YIl jouait tellement fort que les lourdes portes de bronze se refermèrent en silence. * * * * * * * * * * Le temps passait vite.
Mais l'attente était tout de même longue.* * * * * * * * * *  Un jour, sans prévenir, la guerre était déjà là.
Les amants ne s'étaient toujours pas revus. La première riposte fût tirée. Puis encore une autre.
La guerre faisait désormais rage.
Toute personne capable de marcher était envoyé au combat.
Les amants étaient commandant de leur propre navire.
Mais le destin ne les avaient pas guidés dans le même camp.-Je suis aux commandes de "l'Amour", un des vaisseaux les plus puissant de la flotte de la coalition. Je me dirige vers ce que l'on pourrait nommer la grande bataille. -La grande bataille, notre point de ralliement, là où la guerre va se jouer. Mon batiment, "Passion" glisse dans l'espace intersidéral pour rejoindre les forces de l'alliance. De loin, la bataille ressemblait à une danse.
Une maccabre danse.
Elle se déroulait dans le système Nocturna. Les vaisseaux volèrent par milliers sous le feu nourri des destroyers.
De la planète hébergeant ce massacre, de la musique en émanait.
La triste musique des guerres incessantes.https://www.youtube.com/watch?v=EXEpP21soXY -Un tir gravitationnel !L'espace s'était, durant un instant, comprimé puis détendu, projettant à une vitesse folle, chasseurs intercepteurs et cuirassés contre les dures parois des destroyers.-Cannoniers ! Là ! Une étoile de la mort ! -Elle retente un tir ! Le tir traversa le champ de bataille, mais ne toucha personne.-Pilotes, notre objectif est le canon graviton !-En avant sur l'arme gravitationnelle !"Amour" et "Passion" se dirigeaient vers le même objectif.
Les lasers fusaient.
Illuminant le ciel, puis détruisant les carcasses volantes.
Les projectiles de toutes sortes rebondissaient sur les coques.
Les corps s'expulsaient des cockpits avant d'être carbonisés par un réacteur voisin, ou bien balayés par une aile.-La cible est proche !-Préparez-vous à faire feu !"Amour" et "Passion" se retrouvèrent nez-à-nez.
Yeux dans les yeux.
Ils se regardaient.
Le temps s'arrêta.
Le silence se fit.
Même les planètes stoppêrent leur révolution.-Pourquoi ?
Pourquoi les choses se passent ainsi ?
Pourquoi doivent-elles se passer ainsi ?-Mon amour.
Tu l'es, et le seras pour toujours.Sur ses mots, le temps reprit son droit.
Les vaisseaux foncèrent sur l'arme qui chargeait un ultime tir.Je t'aime ! Une larme lui coulait sur son visage.
Elle n'osait la sécher.
"Amour" et "Passion" s'écrasèrent, le tir gravitationnel parti.Soudain, l'explosion se figeat, les armes se stoppèrent, les canons se turent. La larme se cristalisait, doucement, lentement, puis partie... ...avant que la mort et la désolation ne finirent leur travail.* * * * * -Et voilà.
C'est le mystère de cette comète, du BigBang.-J'aime bien cette histoire !
Je la trouve fascinante.
C'est donc la larme de l'Amour de la dame qui a donné la Vie ?-Et oui !
Maintenant je peux te faire un bisou ?-Maintenant oui ! - Citation :
Dernière édition par le Mer 19 Déc 2007 - 0:11, édité 2 fois | |
| | | | Chevalier ogrin
Ne peut pas vivre sans parler
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| | Sujet: Re: Histoire d'une plume, celle qui rêvait. Ven 24 Aoû 2007 - 23:18 | |
| tres belle histoire  | |
| | | | Kioko
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| | Sujet: Re: Histoire d'une plume, celle qui rêvait. Jeu 8 Nov 2007 - 23:36 | |
| Histoire écrite à la suite d'une conversation msn avec une demoiselle que je ne connais pas. Je ne prétends pas que mon idéologie est la meilleure, du moins je pense qu'elle est moins pire que la tienne, ma Puce. Change, par pitié ! - Citation :
- Que regardes-tu ?
Que vois-tu ?
Depuis notre dernière conversation, je ne sais comment tu me considères.
...
Je n'ai jamais su comment tu me considérais.
Depuis notre dernière conversation, je sais maintenant que je n'ai affaire à la personne que j'attendais, je n'ai affaire à cette demoiselle qui pour moi...
Non. J'arrête de tenter de t'imaginer. Maintenant, c'est à toi d'imaginer.
Tu le sais comme moi, nous ne nous sommes jamais vu.
Pour toi, qui suis-je ? Pour toi, ai-je le droit d'être ici maintenant ?
Ou suis-je comme ceux que tu ne peux voir, que tu ne peux sentir, que tu ne peux accepter ?
Qui te dit que je ne suis pas ceux qui s'opposent vivement quand ceux qui partagent tes idées proposent encore et toujours des choses qui m'écoeurent de plus en plus ?
Je sais que tu ne réfléchi par toi même, une entité pensante est fondée à plus de 50% par son environement, ta pensée est une grande partie de ceux avec qui tu vis, tout comme moi.
Ma chère, je sais que nous ne venons pas du même milieu, que nous serons face à face lors de ces grandes batailles qui éclateront.
Maintenant je vais te demander sincèrement de me suivre, prends ma main, j'ai quelque chose à te montrer, quelque chose à te faire découvrir, quelque chose à te faire... Vivre !
Acceptes-tu de faire un bout de chemin avec moi ? Accectes-tu de vivre quelque chose qui n'est pas comme toi dans les idéaux, et pourtant, qui est comme toi... Humain. Oui, je suis Humain, quelque soit ma couleur, je suis Humain, quelque soit mon origine, je suis Humain, quelque soit mes idéaux, tant qu'ils ne sont pas liberticides totalitaires et meurtrières, je suis Humain.
Maintenant acceptes de mettre de côté cette bataille qui ne se jouent dans la cours où nous jouons, acceptes qu'ils sont tous des pourris, et regarde autour de toi.
Que vois-tu ?
Qui vois-tu ?
Des noirs, des blancs, des jaunes... Des vers ? oÔ
Pourquoi pas, tant qu'ils sont Humanistes, ils n'ont qu'un devoir : vivre.
Alors je te le demande sincèrement, acceptes mes différences, acceptes moi. Vis, et sois Humaniste.
Au lieu de nous faire la guerre et mourir ensembre, faire la paix et vivre ensemble ne serait pas mieux ? | |
| | | | Kioko
maitre du flood
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| | Sujet: Re: Histoire d'une plume, celle qui rêvait. Ven 25 Jan 2008 - 21:10 | |
| - Citation :
 Tiens, j'en ai encore un autre que Tydus a écrit il y a quelques années :
« C'est alors que le soleil se mettait à briller.
J'étendais majestueusement ma voilure,
Et sous la douceur ardente de ton aura,
Je ne puis que m'évanouir dans d'autre cieux. »Hé bien, ça ce voit que c'est du Tydus, tiens, j'en ai un autre de lui, il a même mit des images :
A Toi...
Tu es devant moi.
Je te vois.
Je t'observe.
Tes yeux sont bleus azur.
J'aime,
J'aime m'y perdre,
Je t'aime.
**
Tes lèvres.
Ta bouche.
Contre la mienne...
Cette sensation,
Ce toucher...
J'aime,
Je l'aime à m'y perdre,
Je t'aime.
**
Tes mains.
Tes doigts.
Sur ma peau...
Cette caresse,
Ce délisse,
J'aime,
J'aime à en perdre...
J'aime.
Ne cherche pas,
Ne pense pas,
Aime moi !Fred, tu penses pas que notre vie a été un total gachi ?Pourquoi dis-tu cela ?On a pas le bac, pas le permis, pas de boulot, aucun rang social, et on est là, au Maroc, il est deux heures du mat, et on récite des poèmes que l'on a écrit lors de soirées dans des forges abandonnées. Comme futur, on pourrait pas faire mieux ?Si on veut un futur heureux, je ne pense pas.Alors continuons à lire des poèmes...Tiens, j'en ai un pour toi, fait il y a quelques années, toujours aussi drôle :
Devenir un jour un homme accompli
Ne plus chercher l'amour ni les grâces de la vie
Laisser venir l'oiseau sur mon doigt recourbé
Ne jamais se lasser de le laisser chanter.
Et trouver cette île...
Avancer, sans relâche, jusqu'à la mort de l'horizon
M'arrêter, comme un lâche, pour pleurer, compagnon.
Puis revenir quelque part, pour trouver ce chat noir.
Son poil est blanc, épars. Heureux de te revoir.
Et trouver cette île...
Au détour d'une dune, embrasser mes ânesses.
Danser sur la lune, avec des Elfes, belle faiblesse.
Refaire le monde sur une flaque d'eau,
Parler au scarabée, à l'escargot.
Et trouver cette île, où rêver n'est pas tabou.
Où chanter, même faux, n'est pas une honte,
Où rêver, même beau, n'est plus une honte.
Et trouver cette île, où vivent les fous. - Citation :
Tydus nous pouvons me nommer, racompter les faits je peux.
Deux hommes arrivèrent, aggressèrent nos poètes, la bataille ne fût pas sanglante, ni divine, mais plutôt banale, hélas banale. Sous le ciel étoilé, un couteau sorti, une main fût ensanglantée, un ventre perforé, un crâne brisé. Sous cette nuit illuminée, les êtres matériels ne virent pas les étoiles. Les étoiles se mirent soudain à bouger, à se frapper, à exploser : - Citation :
Le combat dura quelques temps, juste assez pour nourrir encore l'espoir fergent d'Inhumanité. - Citation :
- [HRP]Un hommage que je ne peux que rendre à deux personnes qui m'ont apprises que la Vie, la vraie (pas celle que l'on voit à la télé) ne se résume pas à l'argent et aux biens, mais aux longues et interminables soirées dans des forges abandonnées à s'adonner aux bien-fais divin de la culture, de la littérature, des poésies, sans oublier l'Utopie, et le Rêve. Hélas, je n'ai pas pu retrouver un poème d'un des deux compères.
Cette scène c'est réellement déroulée, dans la nuit du 23 janvier au 24. Résultat des courses : pour l'un brûlure partielle au white spirit, pour l'autre, traumatisme cranien et coup de couteau dans les fesses (ok, moi aussi j'ai ri quand je l'ai appris ^^).
A quand un monde sans violence ? De paix ! Peut être seulement dans une Utopie.[/HRP] | |
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